MILITANT N° 680 – Après la révolution prolétarienne, faisons échouer la révolution migratoire

Mars 2016Après la révolution prolétarienne, faisons échouer la révolution migratoire

 Nous venons de commémorer le 21 février 2016 le centième anniversaire du déclenchement de la bataille de Verdun au cours de laquelle 163 000 Français donnèrent leur vie afin d’éviter l’invasion de la France au cours d’une guerre qui lui enleva 1 500 000 de ses fils. Dans les États voisins, les peuples firent preuve du même héroïsme pour défendre leur territoire dans une guerre fratricide au cours de laquelle les forces vives du monde Blanc se consumèrent diaboliquement. Vingt ans plus tard, entre 1939 et 1945, un coup de grâce a été donné.

Aujourd’hui, alors que nous subissons une invasion sans précédent de population allogènes, un sentiment de double trahison nous étreint : envers les intérêts de notre nation et envers le sacrifice de nos aïeux. Face à ce flux invasif qu’aucun gouvernement d’Europe occidentale ne veut arrêter, nous devons poser cette question terrible : pourquoi tant de « poilus » sont-ils morts, tant de vaillance dépensée en pure perte partout en Europe ?

Car les peuples de l’Europe occidentale, sont trahis par leurs propres dirigeants ! Un crime prémédité par des gens au service d’un projet mondialiste de destruction des nations et du Monde Blanc. La révolution prolétarienne de 1917 ayant échoué à nous détruire, les ennemis de notre civilisation espèrent maintenant y parvenir avec la révolution migratoire de 2015, à savoir la submersion démographique de l’Europe.

Nous en trouvons les prémices dès les années 1970 lorsqu’un Pompidou laissait entrer de la main d‘œuvre à bon marché pour peser sur les salaires des Français, lorsque les Allemands en faisaient de même avec les Turcs. Sans parler de la contraception chimique, la légalisation concertée en Europe de l’avortement est allée de pair avec l’entrée continue d’immigrés – légaux et illégaux.

Toutefois, depuis 2015, ce phénomène de substitution de population a pris l’ampleur d’une déferlante qui devient de plus en plus violemment agressive et prédatrice : pensons au Nouvel An de Cologne ! Or, en Allemagne, c’est Merkel qui, face à ce qui est de fait une armée d’invasion, commet ce crime contre la nation allemande de laisser entrer 1,5 million d’envahisseurs (3 millions supplémentaires étant programmés d’ici 2018), jouant de 60 années de décérébration nourrie d’un repentir obligatoire à haute dose, comme s’il s’agissait de détruire un État qui pratique encore le droit du sang, tandis que rien n’est fait pour relancer la natalité germanique. A l’échelon de l’U.E., c’est la Commission européenne qui organise l’invasion en voulant imposer aux États membres des quotas d’hébergement pour ces envahisseurs dont nombre d’entre eux ont été préalablement endoctrinés dans le salafisme.

Si, pour l’instant, la France paraît assez préservée de ce flot invasif, ce n’est que temporaire. Attendons-nous ainsi à l’irruption de 2 à 3 millions d’Algériens qui fuiront leur pays lors du chaos annoncé qui suivra le décès de Bouteflika. Quant à l’état d’esprit du gouvernement de Paris, il ne diffère pas de celui de Berlin. Plus encore, il nous faut dénoncer la duplicité du discours officiel : alors que le 13 février 2016, Manuel Valls affirmait avec force « Nous ne pouvons pas accueillir plus de réfugiés », l’Assemblée nationale votait cinq jours plus tard une loi qui rend de fait impossible la maîtrise de l’immigration… illégale, déjà bien peu combattue.

Ainsi, la carte de séjour, délivrée pour un an et renouvelable cinq ans devient une carte de séjour pluriannuelle de quatre ans, obtenue au bout d’un an de présence. De même la loi régularise et autorise les clandestins atteints « d’une maladie d’une exceptionnelle gravité » – y compris psychiatrique – après trois mois de présence en France s’ils ne peuvent aller se faire soigner dans leur pays. En outre la rétention administrative d’un clandestin est réduite à 48 heures au lieu de cinq jours. Par ailleurs, le placement en rétention administrative des familles avec enfants mineurs sera interdit. Voilà autant de mesures qui vont accélérer l’appel d’air créé et renforcé au fil des ans par des mesures comme le regroupement familial, l’aide médicale d’État (AME), la retraite des étrangers sans ressources arrivant en France à 65 ans…

Dans le même temps leur République favorise l’islamisation de la France. Les maires des grandes villes subventionnent la construction de centres culturels islamiques, autrement dit des foyers d’islamisation. Juppé, plus calamiteux que jamais, a inauguré à Bordeaux une telle mosquée. A Nantes, si l’opposition à l’aéroport de ND des Landes est virulente, bien peu s’offusquent de la construction d’une 10e mosquée !

Mais, plus grave car moins visible, provoquant l’inhibition des Français engourdis par un bien-être trompeur, est le totalitarisme qui s’installe au prétexte de « lutte contre le terrorisme » avec le concours de media stipendiés.

Les libertés politiques et publiques ne cessent de se réduire. Alors que le pouvoir républicain  ne parvient pas à assurer la sécurité des Français, il met en place un arsenal de surveillance de la population et de répression politique sans précédent avec la complicité de toute la classe politicienne, auquel s’ajoute la persécution planifiée – et scandaleusement consentante – des Français, surtout lorsqu’ils sont au volant de leur automobile.

Un système policier et judiciaire à deux vitesses se met en place : laxiste vis-à-vis des allogènes et violemment répressif vis-à-vis des autochtones, comme peut le voir à Calais entre autres où les CRS, si violents envers les naturels français, reculent devant des hordes d’envahisseurs. Tout cela se renforçant avec ces « forces spéciales » du régime que sont les organisations gauchistes, droit-de-l’hommistes, antiracistes, les unes justifiant le risque de « troubles à l’ordre public », qui permet aux préfets d’interdire les manifestations non politiquement correctes menacées par… ces mêmes gauchistes, les autres servant de mouchards auprès des tribunaux régimistes.

S’inquiète-t-on de l’islamisation ? On est coupable d’islamophobie. Conteste-t-on l’immigration de peuplement ? On est raciste. Est-on simplement patriote ? On est xénophobe. Critique-t-on l’Israël ? On est antisémite. Veut-on manifester ? On est « d’extrême droite ». Voilà autant de signes du totalitarisme en marche.

Les nationalistes ne se laissent pas intimider par ce régime discrédité. Ils ne baissent pas leur garde. Ils affirment que la France est une nation d’hommes blancs, de civilisation indo européenne et chrétienne. En conséquence, ils œuvrent sans concession à son rétablissement, gagnant préalablement les âmes et les cœurs. Ils préparent la nécessaire révolution nationale qui mettra fin à deux siècles d’un régime d’Anti-France, aujourd’hui plus fragile qu’on ne le pense, en s’adaptant à une situation toujours plus tendue. Courage, on les aura !

Éditorial de la Revue Militant, N°680, mars 2016.

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